Victor CERRATO a eu le privilège de clôturer la temporada 2023 dans la « plaza » mythique de La Peza (Granada), aménagée pour l’occasion sur la place du village, mais sans « tablas » et donc sans « callejon ». Les spectateurs sont assis sur des rondins ou planches en bois, le premier rang a donc les pieds à même le sol, c’est à dire sur le ruedo! C’est exceptionnel!
Victor termine ainsi la saison en coupant 3 oreilles aux novillos de Julio de la Puerta, assurant sa 11ème « puerta grande » de l’année.
Après avoir terminé à la 8ème position de l’escalafon en 2022, voilà qu’il termine cette année à la 3ème position avec 23 novilladas, 36 oreilles et un « rabo » coupés. Ces résultats le placent second en regard des trophées obtenus.
Durant le printemps 2023, il aura récupéré les « premios » obtenus en 2022 : Tudela, Cebreros, Roa, Pedrajas de San Esteban, Cortegana, Los Molinos.
La temporada 2023 est une saison réussie au regard des résultats avec une confirmation : le 4 juin, Victor reçoit une « cornada » lors de la « entrada a matar » du premier novillo, 15 cm à la base du pénis. Le chirurgien, après avoir assuré les premiers soins, lui suggère de se faire amener par l’ambulance à l’hôpital de Murcia pour observation. Victor CERRATO choisit une autre orientation. Il demande à son « mozo de espadas » de récupérer son « traje de luces », il souhaite combattre le 2ème novillo. Victor coupera 2 oreilles à ce second novillo et sera déclaré triomphateur de la feria. Victor dira aux journalistes les jours suivants : je voulais que les gens sachent que je souhaite être « Torero ». Il n’aura cessé de le démontrer par la suite.
Alors, il y aura un avant Horche et un après!
Cette série de 23 novilladas, entrecoupée de tentaderos chez les ganaderos, aura vu un novillero grandissant progressivement et régulièrement
2023 est sa deuxième saison de novillero con picadores, avec une « vuelta » pour sa présentation à Madrid le 1er mai ; son deuxième paseo à Las Ventas ayant été annulé à cause des intempéries le 3 septembre.
On peut qualifier cette temporada de transition, car après 43 novilladas effectuées lors de ces deux dernières années, nous espérons en effectuer pratiquement autant lors de la saison prochaine, qui, nous l’espérons, lui permettront de prendre l’alternative dans les meilleures conditions possibles.
Victor CERRATO remercie tous les ganaderos qui l’ont accueilli, toutes les « empresas-ayuntamientos-impresarios » qui l’ont sélectionné à leur cartel, tous les toreros qui ont effectué le paseo avec lui ainsi que ceux qui ont fait partie de sa cuadrilla, de même que les « mozo de espadas y ayudas » et équipe qui l’auront accompagné cette année, avec une pensée particulière pour tous les socios de sa peña.
En attendant de récupérer les « premios » obtenus cette année : Horche, Méntrida, Mejorada del Campo, Olmedo, durant cet hiver,
L’heure est au repos (avec une petite incursion dans le monde cinématographique) et le travail démarre dans les prochains jours pour commencer la temporada 2024.
Après avoir été déclaré triomphateur des novilladas ou des ferias de Horche, Méntrida, Mejorada del Campo, Victor CERRATO a été déclaré hier soir lundi 23 octobre par la Junta directiva de la Asociacion Taurina « Amigos de los encierros de Olmedo » TRIUNDAFOR DEL FESTEJO MIXTO de OLMEDO.
Notons aussi le prix au meilleur puyazo gagné par le picador de Victor CERRATO, Miguel NOVOA, pour son actuacion avec le novillo n°39 de la ganaderia de Hijos de Celestino Cuadri à Guadarrama.
Et enfin, notons que le prix de la meilleure paire de banderilles est décerné à Juan Carlos REY, de la cuadrilla de Victor CERRATO face au novillo n°44 de la ganaderia de Hijos de Celestino Cuadri, toujours ce vendredi 29 septembre à Guadarrama.
Les spectateurs sont à même le ruedo pour être au plus près de l’action et, surprise, il n’y a pas d’accident. Le novilloo semble ne pas voir les gens assis sur les troncs de bois, trop attirés par les muletas des toreros. Seuls les bruits des spectateurs très motivés peuvent distraire le novillo et donc déranger le torero.
Mais ici, c’est comme ça, alors aux toreros de s’adapter.
Et Victor CERRATO a très vite compris ces novillos de Julio de la Puerta. Le premier échappa un peu à Miguel le picador, au point de ne pas le piquer du tout. Tant mieux, il garda ainsi toute son énergie et surtout sa noblesse pour permettre à Victor de prendre plaisir avec ce numéro 23, negro, qui se prêta très bien au jeu. Très belle démonstration, tant à la cape qu’à la muleta. Pour cette dernière novillada de la saison, Victor nous a montré son répertoire qui semble s’enrichir de jour en jour : 2 oreilles.
Le deuxième, castaño numéro 59, est tout aussi noble que ses frères. A Nouveau, grande démonstration du torero qui termine sa saison en grande forme et en pleine confiance. Le pinchazo n’a autorisé le président à ne couper qu’une oreille.
Pour la première fois de sa jeune carrière, Victor va faire une escapade dimanche 8 octobre à Valencia, en tant que
sobresaliente. En effet, une corrida mixte est organisée avec deux matadors et le novillero Nek Romero. Nouvelle expérience.
Huit jours plus tard, dimanche 15 octobre, Victor CERRATO sera peut-être pour la dernière fois de la temporada au paseo de la novillada à La Peza (Granada).
C’est avec un mano à mano qu’il clôturera la saison avec El Melli, qu’il a rencontré à deux reprises ce mois de septembre dernier. La ganaderia est de Julio de la Puerta.
Soulignons que cette dernière novillada sera peut-être aussi l’occasion pour Victor de terminer la temporada à la deuxième place du classement des novilleros 2023.
Puede que sea un asunto recurrente en las últimas fechas, pero es que, atendiendo a los números que arrojan las sumas y restas de las cantidades estipuladas por la última negociación de los mínimos establecidos por el convenio, parece que a los novilleros -no sólo a los matadores modestos- no los está defendiendo nadie, y eso redunda en el perjuicio de la calidad de los espectáculos, en los que todo el mundo debería llevarse a su casa cantidades acordes con su función en el ruedo.
Según lo establecido en las negociaciones publicadas en el BOE, en las que los de oro estuvieron representados por Íñigo Fraile en representación de la Unión de Toreros que preside El Fundi, Alejandro Peñaranda, Álvaro Burdiel o Ismael Martín –que resultó lesionado, además, por el único novillo que toreó-, cobraron los mínimos estipulados, porque los novilleros, a no ser que sean El Juli y llenen Las Ventas para una encerrona, cobran lo que les den.
Y lo que les dieron, según lo establecido, fueron 7.708 euros, lo que corresponde a un novillero del Grupo A, aunque en el escalafón inferior el asunto de los grupos es francamente discutible. Un apoderado, por ponerlos en Madrid, puede cobrar perfectamente el 15 por ciento de esa cantidad, lo que deja el total en 6.552 euros. También la tabla del Convenio estipula que, de ese dinero, 5.147 lereles se destinan a pagar a la cuadrilla, es decir: tres banderilleros, dos picadores, un mozo de espadas y un ayuda. Y la resta ya está en 1.405 del ala.
Vamos ahora con los gastos generales de los aspirantes a matadores, que tienen los mismos que aquéllos, pero cobrando bastante menos. La tremendamente ‘generosa’ tabla del Convenio calcula esos gastos en 1.481 euros, lo que implica que los negociantes o no saben sumar y restar, o les viene a importar un pi…tón lo que puedan llevarse a casa unos chavales que exponen la vida, exponen su imagen, exponen su forma de hacer las cosas y hasta su nombre, porque es ese el que hace que pague o no la gente su entrada correspondiente.
Pero todavía hay más, porque, estando ya la cuenta en negativo por 76 euros -que es lo que palman los novilleros con las cuentas de los que velan por su dignidad y el respeto hacia la profesión-, dice la famosa tabla que los honorarios de los matadores de novillos en una plaza de primera categoria son 1.080 euros, que deben salir de que el mozo de espadas vaya pasando la gorra, porque desde luego no están contemplados en los mínimos estipulados ni aunque el apoderado perdonase su comisión.
Y, con un déficit inicial de 76 euros, sin comprar vestidos, capotes, muletas y demás útiles imprescindibles para torear en una plaza como Madrid, queremos potenciar el escalafón inferior. Con esos representantes defendiendo tus dineros donde se negocian los mínimos, sinceramente, yo preferiría mandar a mi abogado y no delegar mis derechos en gente que no sabe sumar.
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place du village, mais sans « tablas » et donc sans « callejon ». Les spectateurs sont assis sur des rondins ou planches en bois, le premier rang a donc les pieds à même le sol, c’est à dire sur le ruedo! C’est exceptionnel!
Durant le printemps 2023, il aura récupéré les « premios » obtenus en 2022 : Tudela, Cebreros, Roa, Pedrajas de San Esteban, Cortegana, Los Molinos.
La Peza : une plaza unique en Espagne!
